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Algérie : les lieux à visiter et à promouvoir


''L’étagement blanc de ces maisons à terrasse qui se nourrissent de chaleur et d’embruns sur le flanc de cette colline abrute, c’est la Casbah. Plus loin, la ville neuve Dresse contre le ciel L’orgue de ses gratte-ciel. Etranger, tu es ici''...

Extrait du poème «Le frêle paravent» de Mouloud Mammeri

d6 vous donnent une sélection de 10 lieux à promouvoir et à faire découvrir l'Algérie avec ses plus beaux côtés. Il en existe bien d'autres, mais la liste était trop longue et le choix difficile. Donc, notre sélection c'est basée pour la plus part des endroits sur la découverte, leurs histoires et la particularités des lieux versus leurs popularités.

10- Le musée des dinosaures à Sfissifa, Wilaya de Naâma

Vous y trouverai le squelette d'un dinosaure ainsi que de plusieurs fossiles d'animaux préhistorique vivant à l'époque que le désert saharien était recouvert d'eau. Ce lieu est un endroit de rendez-vous de planétologue du monde entier, mais aussi ouvert au publique pour faire un voyage de 130 millions d'années.

9- Le MAMA (Musée Public National d'Art Moderne et Contemporain), Alger

À l'instar du MOMA de New York City, le musée d'art moderne d'Alger, à l'ambition, à un degré moindre, de vous faire découvrir l'art moderne algérien et international à travers d'exposition qui se déroule dans un cadre traditionnel moderne, puisqu'il se trouve dans les bâtisses qui ont accueillit les Galeries Algériennes et qui est d'une architecture mauresque recouvert d'un bel habit blanc immaculé.

http://www.mama-dz.com/

8- Les Îles Habibas, Wilaya Oran

Les îles Habibas sont situées au large à une trentaine de kilomètres au Nord-Ouest de la ville d'Oran.

Elles accueillent de nombreuses espèces végétales et animales dont certaines sont endémiques.

Les îles sont classées comme réserve naturelle maritime depuis 2003 et comme aire spécialement protégée d’importance méditerranéenne (ASPIM) depuis 2005.

Le commandant Cousteau et son célèbre navire La Calypso accostèrent aux îles Habibas en 1977, Cousteau déclara au sujet des îles Habibas, qu'elles sont l'un des 100 derniers cailloux perdus de la Méditerranée.

7- Le phare du cap Carbon, Wilaya Bejaïa : le plus haut phare naturel du monde

Initié en 1870 et inauguré en 1906 pendant la période coloniale, il se situe sur un éperon rocheux de la tête insulaire qu’est le cap Carbon dans le prolongement du parc national du Gouraya. Sa base est percée d’arches naturelles qui ajoutent à la beauté et à la typicité du phare qui est par ailleurs la fierté des cartes postales de Béjaïa et de sa région. L’axe de la lampe culmine à 242m au dessus du niveau de la mer. Le bâtiment du phare lui-même n’est qu’à 15 m au dessus du sol. C’est un phare dit d’atterrissage d’une portée lumineuse de 28 miles nautiques qui indique que le port de Bgayet (Bejaïa) n’est qu’à quelques brasses. Il est géré par l’Office national de signalisation maritime algérien. Il existe 31 phares en activité en Algérie. En 1861, le premier phare a été construit à Ténés (Chlef), plus précisément à Sidi Merouane, presque au centre de nos côtes. En 1861, le premier phare a été construit à Ténés (Chlef), plus précisément à Sidi Merouane, presque au centre de nos côtes.

6- La côte littorale

Le littoral algérien, qui s'étend sur près de 1 200 km le long de la Méditerranée, abrite quelques stations balnéaires autrefois souriantes et très fréquentées, comme le club de vacances de Tipaza, bâti par l'architecte Le Corbusier, ou celui de Zeralda, qui comporte également une réplique de village nomade, mais le vrai attrait c'est sa nature et sa flore. Les zones les plus attrayantes sont justement celles inexploitées dont les fonds marins encore peu connus chez nous.

5- La villa Abd El Tif, Wilaya Alger

Elle était à l’origine un vieux palais du Fahs, propriété depuis 1795 de la famille Abd-El-Tif, d’où son nom. La villa, classée monument historique en 1922, est de style arabo-musulman et se décline sur trois niveaux et un entresol. Son premier constructeur Ali Agha en 1715 qui la vendit à Ali Ben Mohamed, un notable d’Alger pour finir en 1795 chez Abdeltif son dernier acquéreur. Cette villa allait devenir la seule source d’inspiration possible pour l’âme transportée et c’est le 16 Avril 1906 que fut ouverte aux artistes par le Gouverneur Jonnart. Après restauration, cette villa qui est devenue une villa ''Médicis''. En 1907, un arrêté du gouvernement fait de la villa Abd-el-Tif la maison des artistes métropolitains. L'architecte Gabriel Darbeda fut chargé de la restauration des bâtiments y faisant quelques aménagements mineurs. Les ateliers individuels, clairs et spacieux, ne furent installés qu'en 1925 dans une annexe de la villa. La villa était devenue le centre d'art vivant d'Alger.

4- Le jardin d'essai du Hamma, Wilaya Alger

Classé parmi les dix plus beaux jardins au monde, le Jardin d’Essai d’El Hamma, qui s’étend sur 60 hectares, se situe entre les bordures de la mer Méditerranée et les premières collines de la ville d’Alger, profitant ainsi d’un microclimat entretenu par les courants d’air marins et protégé des vents arrivants du Sud par les montagnes qui dominent Alger. Malheureusement, l’urbanisation en a grignoté de sa superficie et il reste 32 hectares classés à nos jours. Créé en 1832, sur la propriété d’un maure qui y possédait une petite campagne avec une quinzaine de norias. Les autorités françaises l’exproprient. Ils signent le décret de la création du jardin, en décembre 1832. A cette époque, les majeures préoccupations étaient la mise en place de cet établissement et la création d’un jardin d’essai capable de propager la culture des végétaux les plus utiles et auxquels convient le sol et le climat d’Afrique. En 1864, le Jardin d’acclimatation du Hamma représentait le plus beau jardin botanique des zones tempérées et on y comptait 1 672 genres de plantes cultivées et 8 214 espèces et variétés. Tellement luxuriant, le jardin d'essai à servi de décor naturel au tournage, en 1932, de Tarzan, l'homme singe.

http://www.jardinbotaniqueduhamma.dz/

3- Qal'âa Beni Hammad, Wilaya de M'Sila

Qal'âa Beni Hammad à était classée en 1982 patrimoine mondial par L'UNESCO. Il y a mille dix ans, en 1007, naissait dans le Hodna, au pied du Djebel Taqarbouzt, la dynastie berbère des Hammadites. Dans un milieu quasiment désertique, le royaume de la Qalaâ des Beni Hammad allait faire naître une brillante mais éphémère civilisation, qui allait rayonner sur tout le Maghreb.

2- Les ruines romaines

Les ruines romaines de Djemila, Timgad, Tipasa et Cherchell sont remarquablement conservées et méritent une visite approfondie. Tipasa, sur la route du littoral à 70 km à l'ouest d'Alger, permet de combiner la découverte des ruines et une baignade sur la plage. Djemila, situé à 40 km au sud-ouest de Sétif, est sans doute le site le plus impressionnant par sa situation dans la montagne. Timgad, à l'est de Constantine, vaut pour l'incroyable plan architectural de cette ville romaine fondée par Trajan.

1- Découvrez Les peintures rupestres de Ajjer

Le Tassili n'Ajjer est un immense plateau situé au Sud-est de l'Algérie. Cet étrange paysage lunaire de grand intérêt géologique abrite l’un des plus importants ensembles d’art rupestre préhistorique du monde. Plus de 15 000 dessins et gravures permettent d’y suivre, depuis 6000 av. J.-C. jusqu’aux premiers siècles de notre ère, les changements du climat, les migrations de la faune et l’évolution de la vie humaine aux confins du Sahara. Le panorama de formations géologiques présente un intérêt exceptionnel avec ses « forêts de rochers » de grès érodé. C'est l'art rupestre (gravures et peintures) qui a fait la renommée mondiale du Tassili à partir de 1933, date de sa découverte.

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